Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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C'est à Dire

10/05/2010 17:33

C'est à Dire


Nicolas Dupont-Aignan était invité à s'exprimer sur la sortie de l'euro dans l'émission "C'est à dire" diffusée sur France 5 le vendredi 7 mai 2010.

http://www.dailymotion.com/video/xd91un_c-est-a-dire_news






Fonds européen de soutien : on continue à traiter les effets, pas la cause !

10/05/2010 17:28

Fonds européen de soutien : on continue à traiter les effets, pas la cause !


COMMUNIQUE DE PRESSE

Fonds européen : une ligne Maginot de plus…

Le fonds européen créé ce week-end pour sauver la mise à un euro en faillite virtuelle est économiquement absurde, budgétairement insoutenable et moralement inacceptable.
Ce plan est économiquement absurde, car il maintient un système économique et monétaire qui tue la croissance et fait exploser l’endettement public. C’est cela que les marchés sanctionnent et qu’ils recommenceront, tôt ou tard, à sanctionner. Tant que des pays dont l’économie n’est pas capable de supporter une monnaie surévaluée, conserveront l’euro, ils ne parviendront pas à rétablir leur compétitivité ni leur solvabilité.
Ce plan est budgétairement insoutenable, car le maintien à flot des pays fragiles de la zone euro est un puits sans fond, un tonneau des Danaïdes dans lequel devront être déversés, en pure perte, des centaines de milliards d’euros que les Etats membres seront bien incapables de mobiliser, passé un certain montant.
Ce plan est enfin moralement inacceptable, car il permet une fois de plus de renflouer les banques avec l’argent des contribuables, au moment même où on les assomme avec une nouvelle cure d’austérité.
La colère des peuples, perceptible hier en Allemagne à l’occasion d’élections locales, ne va cesser, à juste titre, de grandir.
En érigeant une nouvelle ligne Maginot, l’Europe prétend se rassurer et rassurer les marchés à bon compte. Mais l’accalmie sera de courte durée.
La sortie de l’euro est la seule solution – qu’on le veuille ou non - à cette situation ubuesque. Le retour des monnaies nationales en bon ordre et dans le calme permettrait en effet de sauver une construction européenne qui serait désormais fondée sur des réalités, et non plus des chimères. Une fois de plus, la vraie question n’est pas « plus ou moins » d’Europe, mais « mieux » d’Europe.
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du rassemblement gaulliste Debout la République






NDA, la seule alternative républicaine crédible

10/05/2010 12:14

NDA, la seule alternative républicaine crédible


La crise actuelle a du bon. Elle permet d’éclaircir le paysage politique Française. D’une part, l’immense majorité de la classe politique s’acharne à vouloir sauver l’euro, fût-ce au prix d’une rigueur sauvage et dévastatrice. De l’autre, un gaulliste se lève pour proposer une véritable alternative.
La semaine où les chemins de NDA et DDV se sont séparés à jamais ?
Il y a encore quelques semaines, beaucoup glosaient sur le ralliement du président de Debout la République à l’ancien Premier Ministre, malgré les avertissements de beaucoup. La crise des dettes souveraines, qui a brutalement accéléré depuis quelques semaines pourrait bien marquer un point de non retour dans leurs relations si on en juge par les réactions et les propositions radicalement différentes que cette crise a suscité chez les deux hommes.
D’une part, Dominique de Villepin tient les mêmes propos que le Parti Socialiste ou l’UMP. Pour lui, le plan était « nécessaire », l’expression d’une « solidarité de l’Europe vis-à-vis de la Grèce ». Il plaide pour des efforts de réduction de déficit dans toute l’Europe. Il juge que le plan grec est sans doute un peu utopique et plaide pour un plan de réduction des déficits de la France sur douze ans, dans un large consensus qui permettrait de passer outre les éventuels changements de majorité.
De l’autre, Nicolas Dupont-Aignan a dénoncé l’adoption du « plan de sauvetage », votant contre la proposition du gouvernement, que le PS a soutenue. Parallèlement, il a osé lancer une pétition réclamant la sortie de la monnaie unique, estimant que pour sauver nos emplois, il faut sortir de l’euro, le boulet qui pèse sur les économies européennes depuis trop longtemps. Bref, le député-maire d’Yerres se place comme la véritable alternative à la politique menée par le PS comme l’UMP.
NDA 2012 : une nécessité !
C’est tout le paradoxe de la situation actuelle. Alors qu’un nombre sans cesse grandissant d’intellectuels de tous bords (Jean-Luc Gréau, Christian Saint-Etienne, Jean-Jacques Rosa, Gérard Lafay, Jacques Sapir, Frédéric Lordon mais aussi Paul Krugman ou Joseph Stiglitz pour n’en citer que quelques uns) dénoncent les méfaits de l’euro, tout comme Eric Zemmour dans sa chronique de vendredi sur RTL, la quasi-totalité de la classe politique est incapable de remettre en cause le dogme de l’euro.
Malakine faisait de Dominique de Villepin « l’ultime recours des républicains ». Sans négliger les grandes qualités de cet Homme d’Etat, avec qui les républicains partagent beaucoup, sur les Institutions, la vision de la République ou les affaires étrangères, l’ancien Premier Ministre ne propose strictement rien de différent de ce que proposent le PS ou l’UMP sur les questions économiques. Certes, il bénéficie d’une forte couverture médiatique et d’une grande prestance, mais il ne propose pas d’alternative.
Aujourd’hui, le seul et unique recours des républicains pour 2012 est bien Nicolas Dupont-Aignan. Lui seul pourra porter nos idées d’une véritable refonte du système économique pour le rendre à la fois plus juste et plus stable. Lui seul ose proposer de véritables idées alternatives, que ce soit sur la question du commerce international, de l’euro ou même de la gestion de la monnaie. Bien sûr, il part de plus loin, mais avec de telles propositions, il sera forcément la révélation de la campagne.
A titre personnel, je n’avais pas de doutes depuis assez longtemps mais les déclarations de cette semaine devraient achever de convaincre les derniers partisans d’une véritable alternative économique et sociale que le meilleur candidat pour porter nos idées en 2012 est bel et bien NDA.
Laurent Pinsolle





Le règne de la corbeille

10/05/2010 12:10

Le règne de la corbeille


En 1966, lors d’une conférence de presse, le Général de Gaulle avait affirmé que « la politique de la France ne se fait pas à la corbeille ». Beaucoup de temps est passé et il est difficile de ne pas avoir l’impression que c’est bien désormais la corbeille qui dicte son agenda aux gouvernements.
« La corbeille a dit »
1999 : après avoir garanti la stabilité du système financier étasunien pendant des décennies et l’avoir protégé des crises boursières, la corbeille demande l’abrogation du Glass Steagall Act, qui instaurait une stricte séparation entre banques d’affaires et banques de dépôts. L’administration Clinton et un Congrès alors républicain s’exécutent.
2001 : après des années d’exubérance irrationnelle, les institutions financières du monde entier se rendent compte que leurs évaluations du prix de nombreuses actions est totalement ridicule, notamment dans le domaine de l’information et des télécommunications. En deux ans, la valeur de France Telecom baisse ainsi de 93% (de 219 à 7 euros) !!! Asphyxiées par cette baisse des cours, la corbeille demande une baisse des taux et l’obtient. La Fed les descend à 1%, la BCE à 2%.
2008 : après un nouvel épisode spéculatif où les institutions financière ont poussé les prix de l’immobilier à un niveau complètement déraisonnable, le marché se retourne. Mais la conjonction de l’effondrement de la bourse et du marché immobilier provoque un cataclysme financier comparable à la Grande Dépression de 1929. La corbeille demande et obtient le secours des Etats pour sauver les banques (baisse des taux, nationalisation, rachat d’actifs, prêts, garanties et recapitalisation).
2009 : la récession consécutive à la crise financière angoisse la bourse qui craint un scénario comparable à celui des années 30, où la dépression économique avait suivi la dépression financière. La corbeille demande donc des plans de soutien aux économies. Barack Obama se met d’accord avec le Congrès pour un plan de près de 800 milliards de dollars sur deux ans.
2010 : la montée des déficits et de la dette consécutive à la crise économique, aux plans de soutien aux banques et à la relance de l’économie angoisse des marchés qui commencent à douter de la capacité des Etats à honorer leurs engagements. La corbeille demande donc des plans de rigueur pour réduire les déficits publics. L’Irlande, puis la Grèce, le Portugal, l’Espagne et la France cèdent. Mais pour éviter un défaut des Etats faibles qui frapperait les banques, la corbeille obtient un plan de secours.
La démission des politiques
On pourrait démultiplier les exemples : la supervision des normes comptables déléguée à des banquiers, dealers auxquels on confie la réglementation sur les stupéfiants, la législation sur les stocks options (gouvernement Jospin), la libéralisation des mouvements de capitaux… Bref, aujourd’hui, il semble que la corbeille gouverne le monde. De plus en plus, les décisions des hommes politiques sont des réactions aux mouvements d’humeur des marchés financiers.
En 1968, du fait des accords de Grenelle, qui avaient relancé l’inflation, les marchés poussaient la France à dévaluer le franc. Le Général de Gaulle qui n’acceptait pas que la corbeille ait une quelconque influence sur la politique de la France refusa. Et la simple expression de son refus suffit à faire stopper la spéculation. Ainsi, la France put dévaluer à froid, quelques mois plus tard.
Naturellement, la situation actuelle n’a strictement rien à voir avec la situation de la fin des années 60. Le poids des marchés est devenu tel que ses volontés s’imposent de plus en plus aux dirigeants politiques. Pourtant, cela n’empêche pas de se demander si cet état de fait n’est pas une formidable perversion de notre système économique, dont l’objectif devrait être un partage des fruits de la croissance et non pas la soumission aux volontés capricieuses, égoïstes et contradictoires des bourses.
Les politiques, de gauche comme de droite, ont démissionné face à ces questions. Les récents évènements devraient pourtant les pousser à réfléchir sur des propositions concrètes pour réguler la finance et la remettre au service de l’économie productive et de toute la collectivité.
Laurent Pinsolle





Les Grandes Gueules

10/05/2010 11:55

Les Grandes Gueules


http://www.dailymotion.com/video/xd7ynk_les-grandes-gueules_news




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